L’Association pour la Protection des Droits Humains (APDH) est montée au créneau après le drame survenu à Ribo-Escale, dans le département de Koungheul, où le jeune Abdou Khadre Seck, âgé d’environ huit ans, a perdu la vie. Selon les informations rendues publiques, « l’enfant a été battu, puni et privé de nourriture par son maître coranique, jusqu’à ce que mort s’ensuive. »
Dans le communiqué parvenu à PressAfrik, l’APDH a condamné avec la plus grande fermeté ce qu’elle qualifie d’« acte ignoble », soulignant qu’il constitue « une violation manifeste du droit et de la dignité humaine », d’autant plus grave qu’il s’agit d’un enfant mineur, vulnérable et sans défense. L’association exige que « justice soit rendue et que la loi soit appliquée dans toute sa rigueur, afin que de tels faits ne restent pas impunis. »
Au-delà de l’émotion, l’APDH appelle l’État du Sénégal à accélérer l’adoption du Code de l’Enfant et le vote du projet de loi portant Statut des Daaras. L’organisation insiste également sur l’application stricte de la loi n°2005-06 du 10 mai 2005 relative à la lutte contre la traite des personnes, qui interdit la mendicité forcée des enfants.
Pour l’APDH, ce drame doit servir d’électrochoc. « Nous demandons que justice soit faite dans cette affaire et que la loi soit appliquée dans toute sa rigueur », martèle son président, Dr Mbaye Cissé. L’association estime que la mort tragique d’Abdou Khadre Seck illustre une urgence nationale « protéger les enfants talibés et mettre fin aux violences qui continuent d’entacher certaines pratiques dans les daaras. »
Dans le communiqué parvenu à PressAfrik, l’APDH a condamné avec la plus grande fermeté ce qu’elle qualifie d’« acte ignoble », soulignant qu’il constitue « une violation manifeste du droit et de la dignité humaine », d’autant plus grave qu’il s’agit d’un enfant mineur, vulnérable et sans défense. L’association exige que « justice soit rendue et que la loi soit appliquée dans toute sa rigueur, afin que de tels faits ne restent pas impunis. »
Au-delà de l’émotion, l’APDH appelle l’État du Sénégal à accélérer l’adoption du Code de l’Enfant et le vote du projet de loi portant Statut des Daaras. L’organisation insiste également sur l’application stricte de la loi n°2005-06 du 10 mai 2005 relative à la lutte contre la traite des personnes, qui interdit la mendicité forcée des enfants.
Pour l’APDH, ce drame doit servir d’électrochoc. « Nous demandons que justice soit faite dans cette affaire et que la loi soit appliquée dans toute sa rigueur », martèle son président, Dr Mbaye Cissé. L’association estime que la mort tragique d’Abdou Khadre Seck illustre une urgence nationale « protéger les enfants talibés et mettre fin aux violences qui continuent d’entacher certaines pratiques dans les daaras. »